Ma méthode D’entraînement

Fruit des études scientifiques actuelles et de mon expérience dans les sports d’endurance.

BASSE INTENSITé

L'entraînement à basse intensité (en dessous de 75 % de ta FCmax, ou environ 60 % de ta PMA/VMA) constitue la base de ta progression. C’est l’élément le plus important et celui qui a le plus d’impact sur tes performances à long terme.

Mieux encore, cette base solide permet de limiter les blessures et d’éviter le surentraînement.

À basse intensité, de nombreuses adaptations physiologiques se mettent en place :

  • développement et augmentation des mitochondries,

  • meilleure capillarisation,

  • combustion des graisses plus efficace à l’effort,

  • récupération plus rapide.

surchage progressive

La surcharge progressive, c’est le fait d’augmenter progressivement le volume ou l’intensité de l’entraînement — par exemple en ajoutant des répétitions, de la durée ou de l’intensité semaine après semaine, à mesure que l’objectif approche.

Cette progression contrôlée pousse le corps à s’adapter efficacement, en répondant à un stress légèrement plus élevé à chaque étape, sans pour autant dépasser ses capacités ni augmenter le risque de blessure.

C’est aussi un excellent moyen de voir ta forme monter clairement au fil des semaines, ce qui booste la motivation et renforce la confiance à l’approche de l’objectif.

Contrôle de l’intensité

Le contrôle des intensités est essentiel pour s’entraîner intelligemment. Que ce soit via la fréquence cardiaque, l’allure au kilomètre en course à pied, la puissance à vélo ou le ressenti d’effort (RPE), suivre une zone d’entraînement précise, c’est donner du sens à chaque séance.

Tu sais pourquoi tu t’entraînes, quelle zone tu travailles et ce que ça va développer comme qualité physique.

S’entraîner sans repères, toujours à bloc ou à l’instinct, c’est risquer de passer à côté des objectifs de la séance.

En maîtrisant l’intensité, tu :

  • progresses plus rapidement en ciblant la zone de travail voulue,

  • limites la fatigue inutile et donc le risque de surentraînement